Enfin retrouver le plaisir de courir, comment… ?

Et oui depuis quelques années nous avons retrouvé le plaisir de courir.

Refaire même des compétitions, du Cross,  Route, Trail.

Avant si il y avait une blessure qui nous embêtait, contracture des muscles, mal au dos, bassin décalé etc… Le mot magique du médecin généraliste était  « arrêtez de courir pendant trois mois ! » c’était tout.

Heureusement pour nous une amie de notre club nous a fait connaître un Chiropracteur, Monsieur MESTANIER Philippe et nous avons aussitôt pris un rendez-vous.

Avec lui,  remise en état du squelette, muscles, tendons et hop c’est reparti, Marathon j’arrive…!

Même en courant, si je ressens une douleur, je pense tellement au bien-être que va m’apporter le Chiro, que je me guéris moi-même (Lol)

 

Jacky dans l'effort

 

Tous les athlètes que je rencontre, ayant une douleur quelque part, je leur tends aussitôt une carte de Philippe Mestanier. Grâce à cette médecine mon voisin a évité une opération.

Je pense que nous devrions tous aller chez un chiropracteur au moins deux fois par an, comme pour une voiture…contrôle technique obligatoire !

En attendant beaucoup de personnes revivent, grâce à cette médecine et au Chiro. Merci
beaucoup.

Jacky Sarrazin

Trail d'Essouvert en Septembre 2013

 

 

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Laurent DEVAUD, un sportif Chiro-Powered

Encore un athlète complet qui fait appel à la chiropratique pour continuer à profiter de sa passion. Merci à Greg, le chiro de ce jeune homme qui sait motiver ses troupes pour participer à notre site ; )

Laurent DEVAUD

Depuis enfant,  grâce à mon père, je découvre le plaisir du sport lors de sorties dominicales en vélo le long de la promenade Pierre Vernier.  Après quelques années en école de cyclisme et une année de football, j’entre dans l’univers de la compétition sportive avec une pratique assidue du cyclisme jusqu’au niveau national avant une interruption totale pendant 6 ans pour mes études pendant lesquelles, je pratique, entre
autres, le tennis et le football.

 

 

A mon retour sur le caillou, en 1998, le sport se révèle une nécessité pour perdre du poids : je pratique du VTT en créant VTT PASSION et la MEGARANDO. Je participe également, avec plaisir à quelques trails mais sans aucune ambition. Au fil des années, et sans entraînement spécifique, mes résultats se sont améliorés avec des podiums tous les ans.

 

A partir 2002, avec la naissance des raids multi-sports sur le territoire, je trouve l’activité  idéale pour découvrir de nouveaux paysages, tout en pratiquant des disciplines sportives variées : orientation, VTT, kayak, ateliers de corde. Mon entrainement désormais plus sérieux me permet de collectionner résultats et surtout très bons souvenirs avec des équipiers sensationnels : 3 podiums sur le Dream Raid, de nombreuses victoires sur les Raids BCI, La Piste, Les 3 Pics, les Grandes Traversées…

 

En 2006, je décide de faire une année de cyclisme pour réaliser un Tour de Calédonie très honorable et un Tour de Tahiti où je glane le classement général du meilleur sprinteur du Tour.

Dans le même temps, je me passionne pour la course d’orientation, sport certes individuel, mais qui me permet de découvrir d’autres pays et de m’amuser à évoluer en nature hors sentiers, carte et boussole à la main. Très vite, j’y obtiens d’excellents
résultats : champion de Nouvelle-Calédonie sans interruption depuis 2005 en toute catégorie et deux titres de champion d’Océanie en plus de 35 ans.

 

Les raids multi se raréfiant ces dernières années, du moins en Nouvelle Calédonie, je me mets à faire beaucoup plus de raids pédestres (trails), au départ en préparation pour
les CO et pour le plaisir de découvrir de nouvelles zones du caillou puis par challenge sportif.

 

Ces trails étant de plus en plus courts, donc de plus en plus rapides, j’ai dû axer ma préparation sur le développement des performances d’un coureur de semi-marathon et les entraînements de courses sur stade et sur route sont devenus prépondérants. Des
périodes d’entraînements rigoureuses et intensives m’ont permis d’obtenir de biens meilleurs résultats.

 

Cette préparation spécifique aux raids pédestres m’a aussi permis d’améliorer mes performances en course d’orientation et concourir à l’étranger à des courses de niveau élite.

En 2011, je me suis engagé sur une trentaine de compétitions de courses d’orientation et trails qui ont quasiment tous abouti à une place sur le podium.

 

Il est clair qu’avec l’âge, ce rythme de compétitions et d’entraînement depuis plusieurs années me génère aujourd’hui des douleurs et des traumatismes tendineux et musculaires, qui nécessitent d’être traités :

La CHIROPRACTIE que j’ai découvert à partir de juin, m’a permis cette année de m’entrainer davantage et de faire plus de compétitions ; elle m’a notamment résorbé une douleur à l’aine chronique invalidante (sorte de
cruralgie) qui perdurait depuis 3 ans malgré le repos et les divers traitements (mésothérapie, anti-inflammatoire, acupuncture).

Je termine la saison 2011 sans douleur, inflammation ou autre, motivé à réattaquer…

 

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L’expérience de Tibo sur l’UTMB

 

Notre ami Tibo est Chiropraticien en Espagne et pratique la course en montagne. Il nous fait partager son expérience sur l’Ultra Trail du Mont-Blanc en texte et en images.

 

J’ai débuté les courses de montagne à l’âge de 18 ans, j’ai fait 3 fois la 6000D en 2000, 2001 et 2002, après j’ai arrêté plus ou moins 10 ans la compétition à cause des études  et la vie à Paris (très peu de montagne), j’avais également eu des problèmes aux
niveaux du genou droit (tendinite du vaste interne).

En 2009 j’ai recommencé à  m’entrainer grâce à un copain et maintenant colocataire qui faisait des courses de montagne, donc j’ai recommencé  à courir en montagne avec mon pote  afin de préparer mon objectif et mon rêve : faire l’ultra trail du Mont blanc. C’est  également le rêve de beaucoup de coureurs de montagne. Pour  accomplir cette objectif
en 2 ans il  me fallait accumuler des points ;  exactement 5 afin de participer à cette course, chaque course de montagne donne des points  en fonction de plusieurs facteurs  (km, dénivelé,…).

Je me suis entrainé quasiment tous les jours pendant 2 ans entre 10 et 15 km par jour en montagne et sur goudron en fonction des possibilités. J’ai essayé d’alterner bien que je déteste courir sur goudron. J’ai suivi une alimentation un peu stricte, je faisais
3 à 4 repas j´évitais les grignotages (difficile pour moi) beaucoup de glucides, des légumes facile à digérer et des protéines peu grasse. J’ai perdu 10 kg en 2 ans, ce qui est un peu un point clé en course de montagne (moins tu pèses,moins tu portes).

Sur le plan physique je me faisait traiter (heureusement) 2 fois par semaine en chiropratique. C’est impressionnant car quand tu fais du sport régulièrement tu acquiers une sensibilité corporelle beaucoup plus fine qu’un individu sédentaire. Après chaque séance de chiro j’avais l’impression d’avoir des ailes et un surplus d’énergie. Cela m’a beaucoup aidé, d’un point de vue équilibre. Mon problème au genou droit étant réellement un problème postural, je portais environ 5 kg de plus sur la jambe droite que sur la jambe gauche. On a réussi à descendre à 2 kg de différence.

Le dernier point,c’est le matériel. Sur des épreuves de longue durée en montagne il faut mettre le prix sinon tu ne termines pas la course. Moi ce qui m’a posé problème c’était le choix des chaussures car beaucoup de chaussures me donnent des ampoules et donc au final j’ai trouvé la chaussure qui convenait à mon corps. Dans la northface j’étais dans un chausson.

 

Le programme des festivités

Après avoir fait différentes courses sur les 2 ans et accumulé plus de points que nécessaire, je m’inscris à l’UTMB. Il y a tellement de monde (62 nations représentées) qu’il y avait un tirage au sort. La chance !!! Je suis tiré au sort mais pas mon pote. Je vais courir tous seul, ce qui va ajouter une grosse difficulté sur le plan mental (personne ne peut courir à nos côté sur l’épreuve).

Départ sous une pluie battante

Ça y est on est le 26
aout 2011, l’adrénaline est au plus haut. Je reçois 2 sms : la course est reportée ;
au lieu de 18h30, on part à 23h30 pour mauvaise condition météorologique, et le
second sms changement de parcours, on passe de 168 km à 175 km et 9714
dénivelés positifs. Après ces 2 sms l’adrénaline avait doublé.

 

 

 

Donc je me prépare,
je me mets un kinesiotape hanches et genoux, je m’hydrate énormément et je dors
jusqu’à 22h00 puis me rend sur la ligne départ.

 

 

 

23h30 ça y est on part sous une pluie battante, on fait km sur km sous la pluie, c’est très
difficile. Beaucoup de gens abandonne au km 20. On passe de la pluie à la neige au passage du col de la Seigne. Les conditions deviennent extrêmes. Là c’est tous dans la tête,  grand moment de solitude d’autant plus que j’explose mon téléphone portable avec la neige. On
ne peut plus m’appeler. Je me sentais bien jusqu’a mis parcours, j’étais à 15h de course, après petite baisse de régime je prends barre énergétique, électrolytes, je m’hydrate énormément mais rien à faire cela ne revient pas je mets donc cela sur le compte de la fatigue. Les kms et les dénivelés s’enchainent. Je vois beaucoup de monde dans les point de ravitaillement en pleurs ou complètement anéanti des grand silences parfois (beaucoup d’abandon 60 %, je parlais avec des coureurs c’était leur troisième ou quatrième UTMB ils me disaient que cette année c’était la pire épreuve tant au niveau des conditions que du changement de parcours).

 

Malheureusement, au km 135 je suis pris d’une tendinite au niveau du tibial antérieur gauche. Dans les descentes pour imaginer c’est comme une visse dans l’articulation qui ne vous laisse pas fléchir. Je dois alterner marche et course pour pas être en dehors des temps limites des points de contrôle. C’est très dur psychologiquement et moralement, en plus avec l’EPO accumulé en montagne tu commences à avoir des hallucinations, énormément d’impression de déjà vu, des phases euphoriques, des phases de tristesses. Il faut vraiment être fort dans la tête.

Enfin arrive le final et ces derniers kms qui paraissent interminables mais que l’on apprécie quand même car on arrive au bout et c’est beaucoup d’émotion.

Pour la récupération cela m’a pris 3 jours et j’ai repris les séances de chiro au quatrième jour cela m’a beaucoup soulagé (j’avais un sac de 6 à 7kg sur le dos pendant l’épreuve). J’ai été impressionné de la récupération du corps.

J’ai recommencé l’entrainement après 1 semaine et j’avais l’impression d’avoir un troisième poumon et de voler.

Merci la chiro et à l’innate intelligence du corps.

 

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David Esposito – Athlète Multisport

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Sport et Chiropratique … et vous ?

La chiropratique est un moyen sûr et efficace d’éviter les blessures et d’améliorer ses performances sportives. Soyons fier de montrer que la chiro nous aide à pratiquer une activité sportive de façon régulière sans nuire à notre santé. Si pour vous la pratique du sport est avant tout motivée par une volonté de mieux se connaitre et que la chiro vous aide en celà ? Alors vous aussi vous êtes Chiro-Powered… Partageons nos expériences sur ce site, qu’il devienne la vitrine de la chiropratique dans le monde du sport.

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